Nouvelle compile : Un Printemps 2025 ! 💐
Avec GHOSTWOMAN, Pulp, Arcade Fire, Foxwarren, Lou de la Falaise…
Brian Wilson est sur la pochette.
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Nouvelle compile : Un Printemps 2025 ! 💐
Avec GHOSTWOMAN, Pulp, Arcade Fire, Foxwarren, Lou de la Falaise…
Brian Wilson est sur la pochette.
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Today’s Morning Coffee™ (it’s how I call my daily routine of reading RSS feeds) featured Ryan Holiday on The Daily Show. It was exciting to see two of my sources connect in a “wow, you guys know each other” moment. What a great way to start the day! 🍿 × 🏛️ × 🧘♂️

A new opus that lacks significant novelty, except for the talents of Will Ferrell, the promising new character Poppy Prescott, and a fresh appreciation for Tears for Fears' Everybody Wants to Rule the World. Nevertheless, the Minions still deliver plenty of laughs. 🍿

We were looking for a Halloween movie, and this came highly recommended by a friend. It's neither good nor bad. I suppose a child might enjoy it when they first see it, but I found it, at best, mediocre.
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We chose it because we wanted a family movie with New York vibes. Watching it on its own, rather than immediately after the fabulous first one, allows the movie to shine a bit more. It has a big heart, the bird lady is very touching, and it's a lot of fun.
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Instant hit! It's funny; some — though not all — songs are excellent (Golden, What It Sounds Like). The story presents a nice tale with a moving ending that keeps the door wide open for new movies. While I am not familiar with the Korean inspirations, I did notice some influences from Disney, manga, and Totoro, all wrapped in a unique package. My daughter can't stop singing the songs and learning the dances. It truly deserves its hit status.
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We discover that a nearby city is screening La La Land with live music. We decide to show the kids the famous long take of the opening scene. We have fun identifying the two stitches. Afterward, we all go to bed.
The next day, the kids ask to watch the rest of the movie. They don’t have to ask twice.
The film is now a classic. The story, music, colors, actors, landscapes, and even a handful of Ryan Gosling's surprised expressions are all equally lovable.
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Starbucks.
Encore une nouvelle compile. Avec Un Hiver 2025, on voit le bout de notre effort de rattrapage de retard.
OK, on a du Laurent Voulzy (je n’étais pas pour mais it grows on you), mais aussi quelques highlights de haut vol avec Nina Simone, Simple Minds (des débuts), et les toujours excellents Camera Obscura.
Marianne Faithful est sur la pochette.
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I already mentioned that I admire Doc Rivers. After watching this recent interview — “That’s not this country” —, he has earned a place in my personal hall of fame.
🏀 × 🏛️
 
Mon prénom est Mickaël, mais je me présente toujours en tant que Mick.
— Nick ?
— Non, Mick.
Pourquoi ne pas me présenter comme Mickaël ? Parce que les gens prennent souvent des libertés et m’appellent Mike ou Mika. Mon surnom est Mick.
Je viens de récupérer ma commande dans un takeaway. La femme au comptoir m’a appelé : “Mick !” Lorsque je suis arrivé, elle s’est excusée en disant “Pardon Mike,” tout en se faisant taquiner par un collègue. Non, c’était correct dès le début. “Mick” se prononce “Mique”, tandis que “Mike” se prononce “Maïque”.
C’est vraiment simple.
😂
 

This movie was disappointing. Despite its beautiful setting in Venice, a star-studded cast that includes Kenneth Branagh, Tina Fey, Michelle Yeoh, and Kelly Reilly, and the promise of an Agatha Christie-inspired whodunit, I didn't fully engage with it. The editing felt odd, the black-and-white flashback scenes were unattractive, and the plot and character development appeared rushed. However, I am still curious about Branagh's adaptations of Death on the Nile and Murder on the Orient Express. 🍿
 
 
 
Je ne suis pas fan du Ballon d’Or, comme je ne suis pas fan des récompenses individuelles dans des œuvres collectives en général. Ceci dit, je me surprends à être content qu’il soit revenu à Ousmane Dembélé, précisément parce que ce choix intègre une dimension collective, que Vincent Duluc a relevé dans son édito de L’Équipe du 23 septembre. Introuvable sur le web, je le reproduis ici :
Accomplissement d’un destin fascinant et tortueux, le Ballon d’Or d’Ousmane Dembélé dit que toutes les histoires sont possibles dans ce jeu. Il dit, aussi, qu’un joueur peut se réinventer a 27 ans, se défaire de sa réputation de menacer les pigeons, à l’automne, pour danser sur le toit de l’Europe, au printemps. Le sacre individuel de l’attaquant du PSG récompense la meilleure équipe européenne de la saison et la plus collective, qui aura imposé un style dont il a été tout à la fois le symbole, le finisseur et le moteur. S’il n’y avait eu que ses buts, il serait un Ballon d’Or presque ordinaire, et donc aussi extraordinaire que les autres, puisque cette récompense s’attache régulièrement aux artistes de son espèce. Mais la nouvelle grille de lecture du monde du foot, déjà sensible la saison dernière avec la désignation de Rodri, a également servi Dembélé, qui n’a pas seulement séduit par ses dribbles, son patrimoine de départ, ou par ses buts, sa grande œuvre de 2025. En parallèle de l’aura joyeuse qui émane d’un joueur adoré de ses vestiaires, son Ballon d’Or récompense un formidable travail de pressing et de harcèlement, qui s’est étendu comme une contagion dans sa propre équipe, où elle reste un préalable, mais aussi dans le reste du football européen, les autres attaquants ne pouvant plus opposer à leur entraîneur qu’il leur faut garder un peu d’énergie pour finir leurs actions. Sixième Ballon d’Or français de l’histoire, Dembélé a changé de planète hier soir, mais c’est comme si l’on savait déjà qu’il ne s’éloignerait pas du collectif qui l’a porté, et que les votants ont plébiscité en plaçant cinq joueurs parisiens dans le top 10. En théorie, il va devenir une star, ou alors il l’est déjà, mais on dirait que l’étiquette ne collera pas, ou pas complètement. En regard des joueurs qui ont évoqué le Ballon d’Or dès leur première interview à la sortie de l’adolescence, Dembélé vient des tréfonds, ce qui compense toutes les prévisions qui ne s’accomplissent jamais. La soirée magique du Châtelet, émouvante, tant le Parisien a été gagné par les larmes quand il tentait de formaliser un bonheur trop grand, prolonge un printemps glorieux pour le PSG et le football français, vers lequel cette gloire remonte par capillarité, même si la manière dont son football de clubs est géré ne le mérite pas toujours. S’il n’avait pas été blessé, Dembélé n’aurait même pas pu venir toucher le rêve d’une vie, hier soir, et cela aurait été peu supportable, parce que c’était un bonheur à montrer au monde.
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Une nouvelle compile est arrivée. Voici Un Automne 2024.
Kris Kristofferson est sur la pochette. Arlette Laguiller est dans les paroles. Y’a Fontaines DC, Pixies, Les Innocents, Mattiel, The Organ. Elle est cool.
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De retour d’une semaine en Grèce. J’y suis allé en train et bateau pour réduire la note de CO₂ (entre 2 et 7 fois par rapport à l’avion selon les sources). Bien sûr, c’est plus long. Mais je le referai avec plaisir (et en famille après ce beta-test concluant ?) la prochaine fois. 🌱




Une variation de Leurs enfants après eux dans le monde des agriculteurs. Tout le monde a trouvé le film charmant, moi aussi, à l'exception de la violence des adolescents, que je trouve folle et peu crédible. Les personnages demeurent attachants malgré leurs actions déroutantes. Les scènes de fabrication de Comté sont apaisantes, offrant une version tranquille de Fred et Jamy.
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I really enjoyed this movie. It's an excellent way for parents to introduce children to the concept of minorities and the challenges they face. The jokes, especially with the sloth, were great. The animation was impressive, and while the scene where animals turn into predators might be a bit scary for children, it was executed very well.
I'm looking forward to Zootopia 2, which comes out this November.
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The movie serves as a masterclass in moral ambiguity. Every scene is slow-paced yet high-stakes. The lines between heroes and villains are constantly blurred. Characters seek redemption before it's too late, like Tom Wilkinson's character, or grapple with their own morality. Even though Tilda Swinton’s character is evil, she likely suffers from bellyaches and nightmares due to her actions.
I remembered why this film was on my watchlist: Tony Gilroy, the director, is also the creator of Andor, one of my favorite recent shows. I appreciate that both stories feature similar characters in vastly different universes. Both Michael Clayton and Cassian Andor struggle to determine their lines of acceptable behavior.
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Une nouvelle compile est arrivée. Voici Un Été 2024.
Alain Delon est sur la pochette. On est plus sur le patrimoine que sur la découverte avec Oasis, The Beatles, Michel Delpech, Jack White, Cher…
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